Tout me monde en parle, et surtout les médias auxquels rien n’échappe de la vie des riches et des aristocrates: le Prince Albert se soumet à un test de paternité. Le souverain de la principauté monégasque vient de se marier avec l’ex-nageuse sud-africaine, Charlene Wittstock – mais la jeune mariée n’a pas l’air d’éprouver un bonheur sans faille. Rien de plus naturel, vu le doute qu’elle doit avoir depuis les jours précédant les noces. Elle a notamment appris que le prince peut avoir deux enfants illégitimes conçus pendant leur relation, officiellement annoncé il y a cinq ans, en outre d’un garçon de 9 ans et d’une fille de 19 ans nés hors mariage et reconnus en 2005 et en 2006 respectivement.
Maintenant c’est la mère du garçon, Nicole Coste, une hôtesse d’air d’origine togolaise, qui paraît avoir eu une affaire continue avec le prince, suite à quoi elle aurait eu un deuxième enfant, âgé de 3 ans. Une autre femme, une italienne affirme en même temps que le père de son bébé est le Prince Albert. Loin de considérer une nouvelle reconnaissance de paternité, le prince a décidé de procéder à un test ADN pour prouver son innocence dans les deux cas. L’analyse ADN peut en effet montrer avec une certitude et une fiabilité absolues l’inexistence de tout lien biologique entre deux personnes. Si le test de paternité confirme la paternité du Prince Albert, par contre, il aura du mal à trouver une explication acceptable…